La réparation
C’est l’histoire d’un lourd secret de famille que l’auteur dévoile : le nom de Salomé qu’elle donne à sa fille est celui d’une lointaine cousine morte à Auschwitz en 1943. C’est aussi l’histoire d’un choix, terrible, fait par la mère de l’enfant mort pour elle vivre, ou tout au plus, survivre, malgré le désespoir.
Tout est histoire de lignée, de liens et descendance, d’héritage lourd à porter.